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    Bougez pour réduire la progression de la maladie de Parkinson

    Publié par NeuroMotrix

    La maladie de Parkinson progresse plus lentement quand on est plus actif

    La pratique régulière d’exercices est importante pour tout le monde, mais elle l’est encore plus pour les personnes qui vivent avec la maladie de Parkinson. Non seulement l’activité physique peut aider à atténuer plusieurs symptômes, sa pratique permet de ralentir l’évolution de la maladie. On l’observe chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson qui sont actives physiquement, leurs symptômes progressent moins rapidement. Une récente étude longitudinale vient de le confirmer.[1] Ce constat à lui seul devrait donner l’envie de bouger!

    Un trouble dégénératif…

    À titre de rappel, la maladie de Parkinson est un trouble neurologique que l’on dit dégénératif. Cela sous-entend un processus de déclin, une détérioration progressive. La dégénérescence est malheureusement un phénomène caractéristique de cette maladie. Les personnes qui en sont atteintes vivent avec des symptômes moteurs et non-moteurs qui, bien qu’ils puissent, jusqu’à un certain point, être contrôlés par la médication, continuent de progresser à mesure que la maladie évolue. La trajectoire d’évolution des symptômes n’est pas linéaire ni homogène, elle diffère d’une personne à l’autre. Mais, de façon générale, on observe une progression des symptômes moteurs (une détérioration de la condition) de 2 à 7% par année.

    …qui peut dégénérer moins rapidement!

    Chez les personnes qui font de l’activité physique de façon régulière, la vitesse de détérioration est considérablement réduite. Une récente étude démontre que, sur une période de cinq ans, la maladie a progressé à un taux annuel de moins de 1,7% chez les personnes qui font de l’exercices régulièrement. Même que pour certains paramètres mesurés, les symptômes sont restés quasi stables à travers les années. Cela peut sembler minime sur un an, mais si l’on étend cela sur 10 ans, c’est considérable! Année après année, réduire le déclin de quelques points de pourcentage, ça peut représenter plusieurs années d’autonomie et de qualité de vie.

    Quoi faire pour que ça marche?

    S’il est vrai que qu’une pratique assidue d’exercices n’a pas les mêmes effets sur tout le monde, il est aussi vrai que tout le monde peut en tirer des bénéfices. Quoi viser comme quantité et type d’activité physique? La recommandation pour tous les adultes, incluant les personnes qui vivent avec la maladie de Parkinson, peu importe l’âge, est de faire 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée par semaine. Cela veut dire qu’il faut Transpirer et avoir chaud au moins 2,5 heures par semaine. Mais attention! Si l’on est plutôt sédentaire, il faut y aller progressivement, et prévoir atteindre cette cible en plusieurs semaines, voire plusieurs mois, pas du jour au lendemain. Pour ce qui est de la meilleure activité physique à faire, la réponse est simple, c’est celle que vous allez avoir envie de faire! Bien sûr, il y de meilleurs exercices que d’autres, mais pour débuter, choisir une activité que l’on aime favorise le succès. On peut aussi s’entourer de kinésiologues, comme NeuroMotrix, qui sont des spécialistes de l’activité physique adaptée. Ils proposent des entraînements comme Neuro Intensité, qui permettent de pratiquer de l’activité physique à un niveau d’intensité élevé et qui sont élaborés pour aider à freiner la progression de la maladie de Parkinson.

    [1] Miller, S. A., et al. (2019). « Rate of Progression in Activity and Participation Outcomes in Exercisers with Parkinson’s Disease: A Five-Year Prospective Longitudinal Study. » Parkinsons Dis 2019: 5679187.

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